Le blog de Maîtresse Anaïs

 

Plus que quelques jours et nous commencerons notre stage de dressage en Bretagne.... Je remercie les soumis qui se sont inscrits et qui me semblent très motivés, je sens que nous allons passer de très bons moments ensemble, riches de belles émotions... Le Dimanche soir, nous serons au Club le Liberty entre St Nazaire et Nantes pour une soirée BDSM, si d'autres personnes veulent nous rejoindre, contactez moi. Voici quelques images pour vous mettre l'eau à la bouche...

 

laisselaisse2milkmilk3

Lun 29 oct 2012 2 commentaires

Nul doute : vous allez passer un bon we ! Images suggestives , certes .... Sans doute bien d'autres en vos pensées ! Excellent we , donc dans vos aspirations (même les plus secrètes) ! Cordialement ....

ArchivalLolo83 - le 29/10/2012 à 23h49

J'ai effectivement d'autres idées de sévices, j'espère juste que la météo sera clemente...

Maîtresse Anaïs

Quand j'étais encore élève interne dans un collège à Rabat (Maroc), j'aimais me sentir femelle, pute, me faire baiser par plusieurs élèves !

J’adorais sentir leur zob aller et venir entre mes cuisses, s’insinuer, coulisser, lentement mais sûrement, entre mes fesses pour trouver son passage au fond de mon « vagin ». J’aimais sentir leur flot de semence épaisse qui dégoulinait lentement sur mes cuisses pendant la nuit, en laissant de longues traînées laiteuses.

Rien que le fait d’être baisé me faisait éjaculer sans même me masturber !

Ainsi, chaque nuit, à 22 h, après que le maître d’internat éteint les lumières dans notre dortoir, je dormais nu, à plat ventre, sous mes couvertures et j’attendais après avoir abondamment enduit mon anus avec NIVEA et y introduit 2 ou 3 doigts pour le dilater.

 

Presque 2 à 3 fois par semaine, vers 2h du matin quand tous les autres internes étaient profondément endormis, le même groupe, composé de 3 élèves, se relayait sur moi et me baisait à tour de rôle mais toujours dans le plus grand silence afin de ne réveiller personne !

 

Moi, je faisais toujours semblant d’être endormi,  comme étant dans un état léthargique afin de leur faire croire que je ne sentais et ne remarquais rien ! Je ne donnais aucun signe, ni d’approbation, ni de refus. J’étais comme une poupée gonflable. Cependant, je les entendais chuchoter doucement : « les gars, ne faisons pas de bruit, baisons-le, chacun son tour, mais sans éveiller les soupçons des autres ! ».

 

lailatvx - le 30/10/2012 à 05h06