Il est 20h30 lorsque nous arrivons, ma Maîtresse et moi devant la porte du donjon où notre hôte nous attend en faisant claquer son fouet
avec une dextérité qui impressionne. Presque tous les convives sont déjà réunis au salon. Maîtresses et mâitres, soumises et soumis dans ce même lieu, se délectent d'abondantes victuailles
avant le début des souffrances et autres jouissances.
Après un copieux repas, Maîtresse Anaïs se saisit de ma laisse, m'emmène vers une croix et m'ordonne d'ôter ma jupe. Je sais déjà que ce soir je repartirai d'ici marquée... Pas d'échauffement;
les premiers coups de martinet me semblent déterminés, ma Maîtresse est motivée. J'aperçois du coin de l'oeil l'homme au fouet qui assiste religieusement à la correction qui m'est infligée. Je
sens mon dos et mes fesses chauffer mais nous voilà déjà parties dans la grange où je découvre les objets de tortures: un sling, une croix sur roue, une table de gynécologie, une cage suspendue
et une cellule. Maîtresse Anaïs tente de me placer sur la roue mais une ancienne blessure à l'épaule se réveille et m'empêche de me placer correctement. Agacée, elle m'ordonne de laisser tomber
et de m'allonger sur le sling, où je sais que je vais payer pour ma faiblesse. Menottée, les yeux bandés, elle enfonce un gros plug entre mes fesses de femelle. J'entends le bruit du sac de
pinces. Combien va t'elle en mettre? Elle en place jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de place d'en mettre. Je ressens ma peau pincée, l'érection se fait sentir et tire encore plus sur les pinces, mon
petit trou se resserre d'autant sur le plug pour ma plus grande satisfaction quand de la cire brulante vient se mêler aux pinces. C'est douloureux, je mérite cette punition qui m'a semblée durer
une éternité, j'entends d'autres personnes dans la grange ce qui me motive à rester plus forte et à me dépasser. Enfin Maîtresse me libère, j'ai du mal à me déplacer avec toutes ces
pinces et le bandeau sur les yeux. Je profite d'un instant d'innatention de ma Maîtresse pour lever le bandeau et me placer sur la roue. Je trouve la position qui me fait le moins mal à
l'épaule. Anaïs se retourne, elle est surprise mais je la sens contente de voir que sa punition a payé. Elle est ravie d'essayer la roue, elle m'attache, me rebande les yeux, fait tourner la
roue et je me retrouve la tête en bas, fouettée, la sensation est terrifiante, j'ai peur, je veux crier mais aucun son ne sort de ma bouche... Je suis tétanisée. J'ai dû rester quelques
minutes qui m'ont semblées être des heures, mais il est temps de faire une pause. Je suis installée alors dans une cage treuillée par le haut: "Reste sage pendant que je vais me reposer au
salon". Anaïs me laisse alors ainsi, suspendue dans la cage avec un bandeau sur les yeux. Je ne suis pas rassurée sans sa présence. Je me sens observée et son absence est insoutenable,
tant j'aime la sentir près de moi. Elle me redescend après une interminable attente. J'ai le droit de m'abreuver dans une gamelle et ensuite lécher les bottes de la magnifique Maîtresse Ange,
vivant dans ces lieux. Ma maîtresse considère que mes fesses n'ont pas encore l'air d'avoir assez souffert, alors je me retrouve à quatre pattes harnachée au carcan. Je n'arrive plus à déterminer
quel instrument de torture elle utilise tant la douleur est vive. Nous avions remarqué toutes les deux la toile d'arraignée faite de chaînes en arrivant. Je suis alors ravie quand elle me place
devant sans bandeau. Les autres convives ne jouent plus. Ils ont vu ma Maîtresse m'attacher sur la toile. Ils sont tous devant nous pour assister à ce que je crois être mon ultime châtiment.
Anaïs se saisit d'un superbe long fouet très fin. Ses sifflements sont divins, à la hauteur de la douleur qu'il procure. Je n'en peux plus mais je vois l'audience subjuguée face à la dextérité de
ma sublime Maîtresse . Je veux leur en donner plus. Encore quelques coups de fouets et mon cerveau lâche, je réclame la pitié de celle à qui j'appartiens. Elle s'arrête, me détache,
m'embrasse et offre ma bouche et mes fesses à un inconnu.
Cette soirée est l'une des plus belles que j'ai passée. Un lieu magnifique, une maîtresse sadique avec sa chienne impudique.
C'est la fin, je suis dans les bras de ma Maîtresse, nous nous calinons.
Je l'aime.
Cet article fait la démonstration qu'un article très joliment écrit peut être très excitant. On ressent très bien l'amour que porte Cloé à sa Maitresse tout en vérifiant - mais nous nous en doutions - que le fait que Cloé soit donnée en spectacle est pour elle une source de motivation supplémentaire pour ne pas dévevoir sa Maitresse.
Sigisbée.
sont l'Auguste septmer rolf greeting en agde et anna
www.annaro.com
Rolf et anna
grosses bises à tous deux et j'espere cet été au Cap