C'est ma 25ème journée d'encagement successive si on oublie les 10 minutes par jour de liberté pour se laver et entretenir la pilosité. Et en excluant aussi le jour de Bonté de ma Maîtresse quand elle me l'a enlevée pour me faire sauter.

Je sais que c'est le dernier jour, mais l'idée que ma Maîtresse me libère m'effraie, je suis devenue dépendante de cette cage. Elle ne me fait plus mal, mais je ne l'oublie pas, je la sens m'emprisonner mais comme les aveugles, j'ai développé mes plaisirs ailleurs. De ce fait je suis le plus possible plugguée. La sensation du rosebud es décuplée depuis que je suis dans l'incapacité de me toucher.

Ce soir ma Maîtresse va me l'enlever et me faire jouir.... Je n'ai joui que 2 fois en 25 jours... Lors d'une toilette quotidienne, Maîtresse a vu que j'avais une érection et constatant que je serai incapable de remettre ma cage dans cet état m'a accordée 20 secondes pour me soulager en me jetant une culotte sale à la figure.... 2 allez-retour dans ma main et j'ai déverser 10 jours d'abstinance... La deuxième fois, je me suis réveillée "bizarrement" la cage trempée de fouttre, "bizarrement" parce que si j'avais eu une érection elle m'aurait réveillée... Je n'ai pas encore l'explication à ce phénomène.

Ce soir je serai libérée de mon fourreau mais il y a un prix à payer... La soirée est planifiée: Maîtresse a fixé un rendez-vous à 21h30, je dois rencontrer un homme dans un hôtel et dois faire ce qu'il exigera de moi et dois m'assurer d'être rentrée pour 23h. Je ne sais pas grand chose de lui, juste quelques contacts téléphoniques pour se mettre d'accord sur ma tenue. Au téléphone, il avait une voix agréable mais avait ses exigences: des bas tout sauf blancs, une chaînette de cheville, des talons très hauts sans plateforme, ongles pieds et mains vernis.

J'étais prête à l'heure: corset, push up noir, jupe écossaise, bas coutures noirs, porte jarretelle noir et rouge en dentelle, escarpins rouges vernis. Mes ongles auraient eu besoin d'une retouche mais à leur habitude ils étaient fait. Maquillée, une touche de mon parfum fétiche et j'attendais G.

Le téléphone sonne, il était arrivé, je lui indique la chambre et attends derrière la porte. Je suis prise d'angoisse. Comment sera t'il? comment cela va t'il se passer?.. Il frappe... Je lui ouvre... Se dresse devant moi G. Il est de corpulence moyenne, crane rasé, très mignon, à peu près mon âge et me rassure par son regard. Je vois que je lui plais. On échange quelques banalités, me demande de marcher devant lui:

"Parfait!" lance t'il.

... Le téléphone sonne depuis 30 minutes... Je sais que c'est Maîtresse.

J'ai déjà 30 minutes de retard... G. comprend la situation et s'éclipse . Je téléphone à ma Maîtresse qui est agacée par mon retard et me somme de me dépêcher... Je rassemble mes affaires et me regarde dans le mirroir... Je suis une ruine...  du sperme sur les seins, le porte jarretelle descendu, les bas de travers, pas le temps de chercher mon string je file, descends 2 étages tenant difficilement sur mes talons de 12cm tellement je me suis faite défoncée... J'arrive à l'adresse de ma Maîtresse, encore 2 étages à monter péniblement avec 2 sacs, j'en perds ma cage dans les escaliers... Je rentre complètement défaite avec la cage à la main en m'excusant.. Mon apparence semblait l'amuser... Juste le temps de poser mes affaires qu'elle me place à 4 pattes... Sa main rassurante empoigne mon sexe enfin libre, sans contrainte de temps elle entreprends ma traite. Hummm je veux garder le contact de la main de la femme que j'aime le plus longtemps possible mais la jouissance monte jusqu'à l'explosion accompagnée de spasmes.

Voilà comment 25 jours de frustrations se sont terminés.

Merci Maîtresse

Cloé