Nous sommes Vendredi 13... Jour de chance? Je vous laisserai commenter...
Voilà maintenant plus de 2 ans et demi que nous vivons notre relation avec celle que j'appelle parfois MAITRESSE et parfois mon Amour selon la situation, alternant relation BDSM et amoureuse avec un épanouissement sexuel certainement au dessus de la moyenne.
C'est grâce à ma MAITRESSE que je connais l'encagement. Le fait qu'elle puisse gérer ma sexualité est une chose qui nous excite tous les deux. Seulement... L'encagement et par conséquence l'abstinence n'a jamais pu excéder les cinq jours car elle devenait aussi contraignante pour elle que pour moi. D'où l'idée de trouver un amant pour satisfaire les fantasmes sexuels de celle que j'aime le plus au monde. Cette quête me fut d'abord confiée. Par le biais de sites de rencontres qui pullulent sur la toile, j'ai donc fait une première sélection. Il était évident que l'amant se devait être à la hauteur de sa beauté, de son charme et toutes les qualités qui qualifie celle que j'aime. Je trouvai un homme, beau gosse, cultivé et de bon niveau social et culturel, bref, un gentleman. Je les mis donc en relation via internet et le courant passa entre eux assez facilement.
Le contact entre celui que j'appellerai "X" et ¨moi-même était rompu. Le relai était passé.
Vendredi 13:
7h00: Ma MAITRESSE m'installe la CB3000 pour la journée et je pars travailler avec comme toujours, sous vetements féminins sous mes habits masculins.
12h00: Message d'Anaïs. "X" viendra ce soir à 21h... Je tente d'obtenir vainement plus d'information, laissant libre cours à mon imagination. L'excitation m'envahit alors faisant gonfler mon clito dans sa cage et me procurant donc une douleur insoutenable au niveau des testicules. Bizarrement l'idée de la savoir avec un autre m'excitait de plus en plus.
16h00: Je rentre chez elle et m'explique que je serai là, témoin de leurs ébats et nous décidons de nous préparer pour cette soirée inhabituelle. MAITRESSE Anaïs oriente mon choix vers une nuisette, mes escarpins avec talons de 20cm cadenassés, mon collier de soumise et menottes. Elle choisit une tenue à couper le souffle. mini robe blanche, collants ouverts blancs et cuissardes noires. Elle est splendide, désirable... J'ai envie d'elle et suis toujours encagée.
21h00: "X" arrive, très bel homme et gentleman comme nous l'imaginions. De suite MAITRESSE Anaïs sort ses cordes, je sais qu'elles me sont destinées. Elle me fait asseoir sur la chaise de bondage et me ligote à celle-ci devant le regard impressionné de "X" fasciné par la maîtrise des cordes dont fait preuve mon Amour. Je reste muette ainsi contrainte, ma Maîtresse exhibe alors mon sexe enfermé, c'est la première fois que son futur amant voit une cage.
Ils sont l'un à coté de l'autre sur le lit et petit à petit laissent leurs mains s'éffleurer, puis se découvrir d'avantage. Il caresse ses jambes, puis ses seins magnifiques gonflés de désir. Elle déboutonne sa chemise, caresse son torse imberbe, comme elle aime et ouvre son pantalon pour découvrir un sexe déjà tout raide d'excitation. Un sexe très bien membré et proportionné. Bien mieux membré que moi par ailleurs, rajoutant un peu plus à mon état inférieur de la situation. Les préliminaires sont longs et langoureux, très sensuels. Je reste sensible à la douceur qu'ils partagent alors, ils sont en osmose mais je remarque que leur excitation est décupelée quand mon regard croise le leur.
Je suis attachée, impuissante, du moins presque car une main a été juste à semi-libérée pour immortaliser ce moment inoubliable. Mon sexe souffre de plaisir dans sa prison en voyant mon Amour se délecter d'un membre particulièrement beau qui ne me laisse pas indifférente non plus, puis quand "X" prodigue un cunilingus visiblement de grande qualité en entendant des gémissements que je connais plutôt bien... Puis ça y est... L'inconnu est en elle, son corps étranger est dans le sien sans aucun rejet. Anaïs est comblée, de ce fait tout le monde l'est. Ils ont fait l'amour deux fois devant moi, m'offrant le plus beau spectacle qu'il m'ait été donné d'assister. La soirée passée, nous nous sommes couchés Anaïs comblée et moi toujours encagée et pluguée.
La nuit fut réparatrice pour la belle et douloureuse pour moi à cause des multiples érections nocturnes qui se sont manifestées, mais n'a en rien enlevé le bonheur et l'amour que je lui voue.
Cloé. (soumise et cocue)
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